Prévention anti-âge
Que faire dès 60 ans ?

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Prévention anti-âge
Que faire dès 60 ans ?

À partir de 60 ans, on est plus vigilent vis à vis de ses aptitudes physiques qui peuvent décliner plus rapidement qu’auparavant. Nos conseils principaux sont les suivants : 

 

  • Veiller à son alimentation pour éviter le déficit en oligo-éléments, réduire le stress oxydant, apporter les acides gras essentiels pour le maintien, entre autres, des fonctions cognitives (mémoire, vue, ouïe…).
  • Boire suffisamment et régulièrement.
  • Dosage des neurotransmetteurs (Sérotonine, Dopamine, Noradrénaline) en cas de troubles du sommeil, de l’humeur ou de la mémoire.
  • Bilans biologiques anti-âge (statut en acides gras, stress oxydant, bilan inflammatoire, évaluation du turn-over osseux…). 
  • Mettre en évidence des marqueurs de maladies cardio-vasculaires ou de maladies métaboliques.
  • En fonction des facteurs de risque, dépister un début d’atherosclérose par un écho Doppler des artères carotides.
  • Renforcer, si besoin est, l’organisme en anti-oxydants(vitamine C, vitamine E, vitamine B2, curcumine, acide alpha lipoïque, minéraux…) sous forme de compléments alimentaires.
  • Veiller à avoir un transit digestif régulier témoin d’une bonne absorption et digestion, indispensables pour une bonne santé.
  • Pratiquer une activité sportive régulière. Elle peut être douce mais régulière. Le but étant de faire travailler les articulations, maintenir la masse musculaire, renforcer les tendons. Tout ceci contribue à la prévention de l’ostéoporose et renforce le muscle cardiaque.
  • Lutter contre la sédentarité, imposée par notre mode de vie actuelle, en pratiquant une marche quotidienne, monter les escaliers (plutôt que prendre l’ascenseur)…
  • Etre plus attentif aux colon, prostate, seins, ovaires, utérus, yeux.
  • Faire une densitométrie osseuse pour suivre l’évolution ou l’apparition d’une ostéoporose et instaurer un traitement si nécessaire.
  • Surveiller le coeur et diminuer les facteurs de risque cardio-vasculaires (sucre, tension artérielle, athérosclérose, obésité, sédentarité, alcool, tabac…).
  • Faire un fond d’oeil à la recherche d’une dégénerescence maculaire liée à l’âge (DMLA), 1ère cause de cécité chez la personne de plus de 60 ans.
  • Détecter les troubles cognitifs et de la mémoire.
  • Poursuivre les soins de médecine esthétique(mésolift, comblement de rides, acide hyaluronique, peelings, photoréjuvénation par la lampe flash, la photomodulation par lampe LED,…).
  • Utiliser les bonnes crèmes anti-âge qui vont stimuler les cellules de la peau pour limiter la perte de fermeté, hydrater, redonner de l’éclat au teint, lutter contre la dermatoporose.

Prévention anti-âge
Que faire dès 50 ans ?

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Prévention anti-âge
Que faire dès 50 ans ?

Plusieurs examens permettront de déterminer l’âge biologique, véritable indicateur de l’état de santé global. Une prise en charge précoce des troubles pourra ainsi être instaurée.

Pour la femme, c’est la période de la ménopause avec une série de symptômes dont il faudra parler. Et pour les hommes, l’andropause doit également être abordée.

 

  • Etablir un bilan hormonal (DHEA, hormones thyroïdiennes, testostérone, Prégnénolone, hormones sexuelles…).
  • Dosage des neurotransmetteurs (Sérotonine, Dopamine, Noradrénaline) en cas de troubles du sommeil, de l’humeur ou de la mémoire.
  • Bilans biologiques anti-âge (statut en acides gras, stress oxydant, bilan inflammatoire, évaluation du turn-over osseux…). 
  • Mettre en évidence des marqueurs de maladies cardio-vasculaires ou de maladies métaboliques.
  • En fonction des facteurs de risque, dépister un début d’atherosclérose par un écho Doppler des artères carotides.
  • Renforcer, si besoin est, l’organisme en anti-oxydants(vitamine C, vitamine E, vitamine B2, curcumine, acide alpha lipoïque, minéraux…).
  • Veiller à son alimentation pour éviter le déficit en oligo-éléments, réduire le stress oxydant, apporter les acides gras essentiels pour le maintien, entre autres, des fonctions cognitives (mémoire, vue, ouïe…).
  • Veiller à avoir un transit digestif régulier témoin d’une bonne absorption et digestion, indispensables pour une bonne santé.
  • Pour les hommes : examen de la prostate.
  • Pour les femmes : palpation régulière des seins et mammographie tous les 2 ans, frottis du col de l’utérus (détection des virus HPV à Haut Risque). Prévenir l’ostéoporose et une recherche biologique de resorption osseuse et si besoin une densitométrie osseuse.
  • Aborder le thème de la ménopause avec son médecin, lui parler du ressenti, des symptômes, leur fréquence…
  • Pour les 2 sexes : dépister précocément un cancer colo-rectal.
  • Activité sportive régulière recommandée pour le maintien de la masse musculaire et la lutte contre l’ostéoporose.

     En ce qui concerne les soins esthétiques 
  • Effacer, si nécessaire, les taches brunes et la couperose au laser ou à la lampe Flash.
  • Réduire les rides par la technique de comblement à l’acide hyaluronique ou la toxine botulique.
  • Illuminer le teint, resserrer les pores et atténuer les taches brunes par des peelings ou le laser.
  • Revitaliser et hydrater la peau par un mésolift.
  • Agir sur le relâchement cutané par la radiofréquence, les fils tenseurs et le laser.
  • Utiliser les bonnes crèmes anti-âge qui vont stimuler les cellules de la peau pour redonner fermeté, hydratation, effacer les petites taches, atténuer les rougeurs…

Prévention anti-âge, faire le point à 40 ans

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Prévention anti-âge, faire le point à 40 ans

Les sécrétions hormonales commencent tout doucement à faiblir. Les conséquences se font sentir sur le poids, l’humeur, le sommeil, la qualité de la peau.

Les bilans effectués à partir de 40 ans sont très importants car ils serviront de référence :

 

  • Bilan biologique de base (cholesterol, triglycérides, sucre, fer, ferritine, vitamine D, marqueurs de l’inflammation, recherche de terrain acide, homocystéine, état hépatique, rénal, thyroïdien…)
  • Bilans biologiques anti-âge prescrits en fonction de l’interrogatoire, des facteurs de risque, des antécédents personnels et familiaux. En savoir+ sur ces bilans
  • Avoir une alimentation équilibrée, variée et de qualité.
  • Veiller à avoir un transit digestif régulier témoin d’une bonne absorption et digestion, indispensables pour une bonne santé.
  • Pratiquer une activité sportive régulière.
  • Lutter contre la sédentarité, imposée par notre mode de vie actuelle, en pratiquant une marche quotidienne, monter les escaliers (plutôt que prendre l’ascenseur)…
  • En cas de tabagisme, hypertension, diabète, consommation régulière d’alcool, hypercholestérolémie, sédentarité, obésité : voir avec votre médecin traitant pour pratiquer un examen cardiaque d’effort afin de dépister un risque coronarien, échographie (foie, pancréas, reins, prostate) et bilan radiologique (poumons).
  • Pour les femmes : palpation régulière des seins, frottis du col de l’utérus (test HPV-HR à faire tous les 5 ans si le test est négatif). Recherche des signes de syndrome pré-menstruel.

 

En ce qui concerne les soins esthétiques 

C’est l’âge où la peau commence doucement à se relâcher, de fines ridules apparaissent ainsi que des taches brunes.

  • Hydrater davantage la peau (elle se dessèche avec l’âge), la revitaliser par un mésolift.
  • Combler les rides et creux du visage, atténuer les cernes en utilisant les produits de comblement tels l’acide hyaluronique.
  • Faire un peeling pour améliorer le grain de peau.
  • Stimuler les cellules pour produire du nouveau collagène grâce à la photomodulation par lampe LED. Plus on commence tôt et moins le temps laisse son empreinte.
  • Utiliser les bonnes crèmes anti-âge qui vont stimuler les cellules de la peau pour redonner fermeté, hydratation, effacer les petites taches, atténuer les rougeurs… 

Le collagène

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Le collagène

Le collagène est la protéine la plus abondante dans le corps humain, elle est synthétisée naturellement par l’organisme et représente l’élément principal des tissus conjonctifs : peau, vaisseaux, cartilages, tendons, ligaments, muscles, intestin… partout où il faut de la résistance. En effet, les fibres de collagène permettent de résister aux forces de tension dans les tissus.

C’est pourquoi le collagène joue un rôle majeur dans l’élasticité et la régénération de la peau et des tissus.

 

Les bienfaits pour l’organisme

Le collagène a un impact sur les sphères articulaires et digestives.

 

Il est un élément majeur des articulations, et en assure la cohésion et l’élasticité. Avec l’âge, ou en cas d’activité physique intense, des douleurs peuvent apparaitre. Elle sont généralement liées à une dégradation du cartilage (tissu conjonctif riche en collagène). On parle de rhumatisme ou d’arthrose.

 

De part ses vertus sur le tissu osseux, le collagène participe également à réduire l’apparition et la progression de l’ostéoporosechez la femme ménopausée.

 

Le collagène présent dans le tissu conjonctif intestinal soutient et renforce la muqueuse protectrice du tube digestif. Son rôle est important puisque la dégradation de la barrière de l’intestin permet à des particules indésirables de passer dans le sang. Il s’agit du syndrome de l’intestin perméable, qui va provoquer des inflammations chroniques.

 

Les bienfaits pour la peau

Le collagène possède de multiples vertus anti-âge :

 

  • Aide à lutter contre la déshydratation grâce à sa capacité à retenir l’eau dans les tissus. 
  • Aide à lutter contre le relâchement cutané grâce à sa capacité à régénérer les tissus de l’épiderme
  • Action anti-oxydante et anti-radicalaire

 

Sa production commence à diminuer dès l’âge de 25 ans, et à 60 ans, nous en avons perdu 60%. Ce phénomène est aggravé sous l’effet des rayons UV, du tabac, de la pollution atmosphérique. Sans oublier le rôle de l’alimentation avec la glycation (fixation des sucres sur la protéine de collagène) entrainant une rigidification de cette protéine et ainsi une perte d’élasticité.

Les fibres de collagène se fissurent, se désorganisent dans la peau, ce qui conduit à l’apparition de rides et de relâchement cutané. D’autre part, le manque de collagène au niveau de la peau provoque une irregularité du grain de peau, la lumière s’y réfléchit moins bien, la peau perd de son éclat et le teint est moins uniforme.

 

Collagène et alimentation

Il existe peu d’aliments contenant du collagène. Ce sont presque exclusivement des aliments d’origine animale. On en trouve dans la viande, notamment dans les parties gélatineuses telles que les pieds, les pattes, la queue, le museau… L’os à moelle, par exemple, est majoritairement composé de collagène et peut être consommé sous forme de bouillon pour en favoriser l’extraction.

Le collagène existe également dans le milieu marin : on le trouve dans la peau, les arrêtes et les écailles de poisson.

 

Certains aliments riches en vitamines A, C, E et en zinc vont également participer à la régénération de la peau et booster la synthèse de collagène : le saumon, les légumes verts, l’avocat, l’ail…

 

Selon une étude publiée en juillet 2020 dans le « Journal of Cosmetic Dermatology », pour être efficace sur les rides et l’élasticité de la peau des femmes de 45 à 60 ans, il faudrait consommer 10g de collagène hydrolysé par jour, et ceci pendant 4 à 8 semaines. Or, pour ingérer cette quantité de collagène, il faudrait manger 140g d’os à moelle /jour ou boire 1 litre / jour de bouillon d’os à moelle. C’est la raison pour laquelle une supplémentation est souvent recommandée.

 

Voici les différents bienfaits reconnus selon chaque type de collagène :

  • type I – propriétés anti-âge sur la peau et amélioration de la mobilité des articulations ;
  • type II – participation à la construction du cartilage et prévention des douleurs articulaires ;
  • type III – bienfaits similaires au collagène de type I avec, notamment, des actions antioxydantes ;
  • type IV – soutien direct au fonctionnement de différents organes, dont les reins ;
  • type V – composition de la surface des cellules, des mèches de cheveux et des tissus placentaires ;
  • Type X – impliqué dans les processus d’ossification et dans la formation du cartilage articulaire.

 

L’acide hyaluronique expliqué

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L’acide hyaluronique expliqué

À ce jour, l’acide hyaluronique est la molécule hydratante la plus puissante dont on dispose. Découverte en 1934 dans l’humeur vitrée de l’œil de bœuf, l’acide hyaluronique, ou hyaluronane, est l’association d’un acide uronique et d’un aminoglycane. Cette sorte d’ « éponge » à eau, naturellement présente dans notre organisme, assure, entre autres, le rebondi de la peau et la fraicheur du teint.

Et comme sa production baisse de 6 % à chaque décennie, entraînant relâchement cutané et rides, des formules synthétisées et des traitements esthétiques permettent de compenser.

L’acide hyaluronique (A.H) est présent de manière tout à fait naturelle dans beaucoup de tissus et liquides de l’organisme. On le trouve, par exemple, dans l’humeur vitrée de l’oeil et le liquide synovial des articulations où il permet le glissement des surfaces osseuses entre elles. Il est d’ailleurs utilisé en chirurgie ophtalmologique et dans le traitement de l’arthrose du genou. 

Mais la peau en est le réservoir le plus important.

Au niveau de la peau, l’acide hyaluronique est surtout retrouvé au niveau du derme et en moindre quantité au niveau de l’épiderme. 

L’acide hyaluronique et le collagène sont essentiels au maintien de la structure des couches de la peau. Le collagène donne à la peau sa fermeté tandis que l’acide hyaluronique nourrit et hydrate le collagène.

Quels sont les bienfaits de l'acide hyaluronique au niveau de la peau ?

  • Il retient l’eau dans les tissus comme une éponge. La molécule d’acide hyaluronique peut fixer et attirer jusqu’à 1000 fois son poids en eau !
  • Il joue un rôle important dans la cicatrisation de la peau.
  • Il joue un rôle dans la protection contre les rayons UV : action anti-oxydante

 

L’acide hyaluronique se combine avec l’eau et remplit les espaces intercellulaires, ce qui contribue à son pouvoir hydratant exceptionnel et entraîne une mise en beauté durable de la peau qui devient douce, lisse et élastique, notamment au niveau du visage et des lèvres.

Il sert ainsi à maintenir l’hydratation de la peau et participe à sa tonicité. La quantité et la qualité dans le derme diminuent progressivement avec l’âge. De ce fait, la peau se dessèche, se fragilise, et les premières rides apparaissent. Puis progressivement, les tissus se relâchent et le visage se creuse. Ces déséquilibres s’accentuent avec la ménopause, mais aussi avec le vieillissement photo-induit (du aux rayons UV).